La Chine était sous pression. Elle devait l'être au prochain G20. Il faut dire qu'elle continue à ponctionner le commerce international avec une monnaie sous évaluée, à accumuler des réserves de changes massive sur le dos des États-Unis et de l'Europe, à ne respecter aucune règle en matière de coordination économique internationale, à coloniser économiquement tous les pays à ressources en matières premières, je pourrais continuer comme cela, la liste est longue. Mais nous avons déroulé le tapis rouge et surtout nous nous sommes couchés. Notre président si prompt à déclarer la guerre à tout sans jamais en mener aucune a avalé une gigantesque couleuvre. Son silence a un prix: des signatures de contrat qu'on nous annonce record via des commandes massives pour Airbus et Areva.
On va achever pour un profit à court terme de transmettre à la Chine le complément de technologie qui lui manquait pour construire ses propres centrales nucléaires puis les vendre à moitié prix dans le monde, pour construire un TGV encore plus rapide que le notre et construire des avions qui viendront concurrencer et écraser les Airbus et les Boeing dans quelques années. A la trappe le problème du yuan, oublié le Tibet et le Dalai lama, exit les plaintes des industriels français sur la façon dont on les traite en Chine.
C'est clair. Pauvre France !
RépondreSupprimerL'argent nous pousse souvent à oublier les Droits de l'Homme. Je suis aussi révolté.
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